Ministère de la Santé et des Services sociaux

Salle de presse du ministère de la Santé et des Services sociaux

Le ministre Lionel Carmant annonce un financement de 10 M$ permettant d’offrir un meilleur accès aux services destinés aux jeunes ayant de premiers épisodes psychotiques

Québec, le 1 décembre 2020

Le ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux, Lionel Carmant, annonce aujourd’hui qu’un financement supplémentaire de 10 M$ servira à bonifier l’accessibilité des services spécifiques pour les enfants, les adolescents et les jeunes adultes présentant de premiers épisodes psychotiques.

L’investissement annoncé vise le développement, d’ici la fin de l’année financière 2020-2021, de 944 nouvelles places. Celles-ci permettront d’atteindre les 3 136 places recommandées par le cadre de référence du programme d’interventions pour premiers épisodes psychotiques (PIPEP).

Rappelons que le PIPEP a été mis sur pied afin de diminuer la durée de la période sans traitement chez les jeunes adultes présentant un premier épisode psychotique, d’améliorer l’engagement des jeunes à s’impliquer dans leur traitement et leur maintien en rémission et de réduire au minimum les effets à court, à moyen et à long terme de la maladie. Le PIPEP est offert d’abord aux personnes âgées de 12 à 35 ans qui présentent des symptômes d’un trouble psychotique ou qui sont considérées à risque accru de psychose et qui n’ont jamais été traitées pour une psychose.

Citation :

« Les troubles mentaux ont des effets néfastes sur la vie sociale des jeunes. Ils affectent également leur qualité de vie, et hypothèquent, pour plusieurs, sérieusement leur vie une fois adulte, ce qu’il nous faut à tout prix éviter. C’est pourquoi nous avons à cœur d’intervenir le plus tôt possible dans leur parcours de services, en mettant en place des mécanismes d’accès bien adaptés à leur réalité, et le plus près possible de leur milieu de vie. » 

Lionel Carmant, ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux

Faits saillants :

Cette initiative découle des mesures annoncées dans le Plan d’action en santé mentale (PASM) 2015-2020, qui préconise que chaque établissement soit en mesure d’offrir ce type de soins et de services en santé mentale.

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